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La république du Cameroun en chiffres. Édition 2022

Bordant l’océan Atlantique sur quelque 590 km de côtes très découpées, le Cameroun partage ses frontières avec le Congo, le Gabon et la Guinée équatoriale au sud, le Nigéria à l’ouest, la Centrafrique et le Tchad à l’est. Dans la partie sud-ouest du pays, les deux régions limitrophes avec le Nigéria (Nord-Ouest et Sud-Ouest) sont anglophones, alors que le reste du pays est francophone. La forêt dense occupe environ 20 millions d’hectares, soit 40 % de la superficie du pays.

Stable pendant plusieurs décennies, le Cameroun est confronté depuis quelques années aux attaques de la secte islamiste Boko Haram dans l’extrême nord et à un mouvement séparatiste dans les régions anglophones.

Doté de nombreuses ressources naturelles (pétrole et gaz, minerais et bois précieux), agricoles (café, coton, caoutchouc, cacao, bananes, maïs et manioc) et pastorales (élevage bovin), le Cameroun a une économie assez diversifiée.

  • Nom officiel : République du Cameroun (Republic of Cameroon)
  • Superficie : 475 440 km2
  • Accession à l’indépendance : 1er janvier 1960
  • Fête nationale : 20 mai
  • Capitale : Yaoundé
  • Langues officielles : français, anglais
  • Religions : Christianisme (35-40 %), Islam (15-20 %), animisme (45 %)
Drapeau de la république du Cameroun

Données démographiques

  • Population (2020) : 25 millions d’habitants
  • Dont femmes : 50,6 %
  • Population de 0 à 14 ans : 42,5 %
  • Population de 65 ans et + : 3,6 %
  • Densité de population : 54,7 hab/km2
  • Taux de croissance de la population : 3,1%
  • Population urbaine : 60,1 %
  • Population de 0 à 14 ans : 42,4 % (Source : BAD)

Appartenance à des organisations

  • Date d’adhésion à l’ONU : 20 septembre 1960
  • Appartenance à des regroupements économiques régionaux : Le Cameroun est membre de la Communauté Économique et Monétaire d’Afrique Centrale (CEMAC) et de la Communauté Économique des États d’Afrique Centrale (CEEAC)
  • Date de ratification à l’accord ZLECAF (Zone de libre échange continentale africaine) : 31/10/2019 (Décret n°2019/586 du 31 Octobre 2019 – Loi n°2019/010 du 19 juillet 2019)
  • Appartenance à des organisations internationales : Organisation de la conférence islamique (OCI) depuis 1975 ; Organisation internationale de la Francophonie (OIF) depuis 1991 ; Commonwealth depuis 1995.

Nature du régime et système politique

  • Nature du régime : État unitaire décentralisé
  • Constitution en vigueur :  Loi n°96/06 du 18 janvier 1996 portant révision de la Constitution du 02 juin 1972, modifiée et complétée par la loi n°2008/001 du 14 avril 2008.
  • Le Président de la République est élu au suffrage universel direct, égal et secret, à la majorité des suffrages exprimés, pour un mandat de sept ans. Il est rééligible.
  • Le parlement est bicaméral (Assemblée nationale + Sénat).

Principaux partis politiques :

  • Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC),
  • Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC)
  • Union nationale pour l’intégration vers la solidarité (Univers)
  • Social Democratic Front ( SDF). Front social démocratique en français
  • Union des populations du Cameroun (UPC)
  • Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN)
  • Peuple uni pour la rénovation sociale (PURS)

Élections (date et score des principaux partis politiques) :

  • Présidentielle (7 octobre 2018) : RDPC (71,28 % des suffrages exprimés) ;  MRC (14,23 %) ; Univers (6,28 %)
  • Législatives (9 février 2020) : RDPC (84 % des sièges à l’Assemblée nationale)
  • Municipales (9 février 2020) : RDPC (87 % des sièges de conseillers municipaux)
  • Régionales (6 décembre 2020) : RDPC (9 régions sur 10)

Présidents de la République depuis l’indépendance :

  • Paul Biya : 6 novembre 1982 – en fonction. Premier ministre au moment de la démission d’Ahidjo, Paul Biya succède à ce dernier, conformément aux dispositions constitutionnelles. Il est élu en 1984 et réélu en 1988, 1992, 1997, 2004, 2011 et 2018
  • Ahmadou Babatoura Ahidjo : 5 mais 1960-6 novembre 1982 (démission pour raisons de santé). Décédé le 30 novembre 1989.

Organisation territoriale

Régions (10) (chef-lieu de région) : Adamaoua 1 (Ngaoundéré) ; Centre 2 (Yaoundé) ; Est 3 (Bertoua) ; Extrême-Nord 4 (Maroua) ; Littoral 5 (Douala) ; Nord 6 (Garoua) ; Nord-Ouest 7 (Bamenda) ; Ouest 8 (Bafoussam) ; Sud 9 (Ebolowa) ; Sud-Ouest 10 (Buéa).

Indicateurs sociaux

  • Espérance de vie à la naissance : 58,1 ans  (2016)
  • Taux brut de natalité : 39,7‰ (environ 39 naissances pour 1000 habitants)
  • Taux brut de mortalité : 14 %
  • Taux de mortalité infantile : 48 pour 1000 naissances
  • Taux de mortalité des moins de 5 ans : 79 pour 1000 naissances
  • Taux de fécondité (naissances vivantes par femme) : 5,0
  • Taux brut de scolarisation primaire (Total / G / F) : 108,8 / 113,7 / 103,9
  • Taux brut de scolarisation secondaire (Total / G / F) : 70,0 / 74,8 / 65,5
  • Taux d’alphabétisation : 87 % (H/F : 120/102)
  • Budget de la santé : 4,6 % (2018)
  • Budget de l’éducation : 12,9 % (2019)
  • Sources : ONU, PNUD, BAD

Indice de développement humain (IDH)

  • IDH 2019 : 0,563 ; 150ème rang mondial  (sur 189) 
  • IDH 2020 : 0,563 ; 153ème rang mondial  (sur 189) 

L’IDH prend en compte le revenu national brut, l’espérance de vie à la naissance et le niveau de scolarisation des personnes de plus de 15 ans.  Le dernier palmarès (chiffres 2019) a été publié en décembre 2020. En 2020, deux nouveaux éléments ont été ajoutés. Le premier prend en compte les volets santé, éducation et niveau de vie. Le second élément concerne les émissions de gaz carbonique et l’empreinte carbone du pays. L’indice compte quatre catégories : les pays ayant un IDH très élevé (IDH égal 0,898), les pays ayant on IDH élevé (0,753), les pays ayant un IDH moyen (0,631) et les pays ayant un faible (0,513). Source : PNUD

Indicateurs économiques et financiers  

  • Devise : Franc CFA BEAC (XAF)
  • PIB nominal : 22 955 milliards de FCFA (2020) ; 24 951 milliards de FCFA (rev. 2021) ; 25 158 milliards de FCFA (rév. 2022) ; 29 325 milliards de FCFA (proj. 2023)
  • PIB par habitant/par an : 1 600 dollars (2021)
  • Croissance du PIB réel : + 3,7 % (2019) ; -1,5% (est. 2020) ; + 3,6% (proj. 2021) ; + 4,6% (proj. 2021)
  • Encours de la dette publique : 11 456 milliards de FCFA en mars 2022.
  • En % du PIB : 42,3% (2019) ; 45,8% (est. 2020) ; 47,2% (rév. 2021) ; 45,5 % (est. 2021) ; 45 % (rév. 2022), 44 % (proj. 2022) ; 40,8 % (proj. 2023) ; 37,9 % (proj. 2024)
  • dont dette extérieure : 29,9% (2019) ; 31,1% (est. 2020) ; 33,9 % (rév. 2021), 31,6 % (est. 2021) ; 32,8% (rév. 2022), 31,2 % (proj. 2022) ; 30,3 % (proj. 2023) ; 29,3 % (proj. 2024. Sources : FMI, Ministère camerounais de l’économie

Lire aussi : Le Cameroun mise sur des vaches laitières françaises. https://www.makanisi.org/le-cameroun-mise-sur-des-vaches-laitieres-francaises/

Principales productions et activités économiques

Hydrocarbures (pétrole, gaz) ; Bois ; Aluminium ; Cultures d’exportation et vivrières (café, coton, cacao, caoutchouc, banane, poivre, maïs et manioc) ; élevage ; pêche ; industrie ; services.

Balance des transactions courantes

En % du PIB : -4,3 (2019) ; -3,7 (2020) ; -2,8 (est. 2021) ; -2,2 (est. 2022) ; -3,0 (est. 2023) 

Commerce extérieur

  • Exportations en valeur : 2392,8 milliards de FCFA dont hydrocarbures 41,8 % (2019) ; 2 498 milliards FCFA (2021)
  • Importations en valeur: 2019 : 3 856,9 milliards FCFA (2019) ; 3723,9 milliards FCFA (2021).
  • Pays Clients (en % des exportations en valeur 2020) : Chine (21,5 %), Italie (10 %), Pays-Bas (9,3 %), Espagne (6,8 %) ; Malaisie (4,2 %)
  • Pays fournisseurs (en % des importations en valeur 2020) : Chine (17,5%), France (8,7 %), Belgique (5,6 %), Inde (5 %), États-Unis (4,4 %). Sources : FMI, Institut national de la statistique du Cameroun.

Relations avec le Fonds monétaire international (FMI)

Approbation par le FMI des accords triennaux au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) et du mécanisme élargi de crédit (MEDC), d’un montant de 483 millions de DTS (environ 689,5 millions de dollars, soit 175 % de la quote-part du pays), pour accompagner le programme de réformes économiques et financières du pays : 29 juillet 2021. Source : FMI

Approbation par le FMI d’un prêt d’environ 135 milliards FCFA (226 millions de dollars) dans le cadre de la Facilité de crédit rapide (FEC), pour atténuer les chocs de la crise sanitaire du covid-19 : 4 mai 2020. Source : FMI

Lire aussi : Dans les arcanes des chefferies de l’ouest et du nord-ouest du Cameroun. https://www.makanisi.org/dans-les-arcanes-des-chefferies-de-louest-et-du-nord-ouest-du-cameroun/

Doing Business  

2020 : 46,1 (note sur facilité de faire des affaires) ; 167ème rang sur 190 pays ; 39ème rang en Afrique (sur 54)

Le rapport Doing Business 2020 analyse les réglementations de 190 économies dans 12 domaines afin d’évaluer le climat des affaires à travers le monde. Dix de ces indicateurs sont pris en compte pour attribuer à chaque économie une note sur la facilité de faire des affaires. Source : Banque mondiale

Indice de liberté économique

  • 2021 : 53,4 (score) : 144ème rang sur 184 ; 32ème rang sur 47 pays d’Afrique sub-saharienne
  • 2022 : 52,9 (score) : 136ème rang sur 184 ; 27ème rang sur 47 pays d’Afrique sub-saharienne

Publié par le think tank américain « The Heritage Foundation », l’indice de liberté économique, édition 2021, couvre 184 pays. La liberté économique y est définie comme l’absence de toute capacité de coercition ou de contrainte de la part du gouvernement sur la production, la distribution ou la consommation de marchandises et de services au-delà de ce qui est nécessaire pour protéger et maintenir la liberté des citoyens. Elle est mesurée à travers une multitude d’indicateurs répartis en quatre catégories, divisées en douze sous-catégories : État de droit ; Taille du gouvernement ; Efficacité réglementaire ; Ouverture des marchés. Cinq catégories de pays. Source : The Heritage Foundation

Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE)

Le Cameroun a adhéré à l’ITIE en mars 2005 et a été déclaré pays conforme le 17 octobre 2013.

Indice de performance environnementale (IPE)

  • 2020 : 33,6 (score) ; 139ème  rang mondial (sur 180) :21ème rang sur 51 pays africains
  • 2022 : 30,2 (score) : 153 ème  rang mondial (sur 180) : 38ème rang sur 51 pays africains

L’Indice de performance environnement (IPE) a été conçu par des chercheurs des universités de Yale et Columbia (États-Unis), en réponse à une demande du Forum Économique Mondial. Il vise à comparer les performances environnementales des pays et ainsi à contribuer à l’amélioration de leurs politiques de protection des écosystèmes et de la santé humaine. L’IPE classe 180 pays (dont 51 africains) sur la base de 32 indicateurs de performance, regroupés en 11 catégories, qui se rapportent essentiellement à la vitalité des écosystèmes, la qualité de l’air, la santé, la biodiversité, la qualité de l’environnement, les ressources en eau… Source : Université de Yale 

Indice mondial de résilience climatique. Investment Migration Climate Resilience Index

2021 :  26,8 (note) ; 111ème rang sur 180 pays ; 21ème rang sur 53 pays d’Afrique

Mis au point par Henley & Partners avec Deep Knowledge Analytics, l’Investment Migration Climate Resilience Index est calculé sur la base d’environ 900 indicateurs,  dont des données mesurant le PIB, les facteurs clés de la vulnérabilité climatique ainsi que la capacité des pays à attirer des financements climatiques et à engager des projets d’adaptation. Ce nouvel outil analytique permet d’évaluer la résilience face aux changements climatiques d’un pays et d’explorer les options d’un programme de migration d’investissement pouvant déboucher sur les droits de résidence ou l’acquisition de la citoyenneté dans des endroits plus résilients face aux changements climatiques en échange d’un investissement significatif dans l’économie du pays d’accueil. Les 180 pays étudiés sont répartis en trois catégories de résilience : résilience élevée (scores de 60 ou plus sur une échelle de 100 points), résilience moyenne (scores de 45 à 59,9) et résilience faible (scores de 44,9 ou moins). Source : Henley & Partners

Lire aussi : Les Aquatiques d’Osvalde Lewat ou la quête d’une existence authentique. https://www.makanisi.org/les-aquatiques-dosvalde-lewat-ou-la-quete-dune-existence-authentique/

Empreinte carbone

Émission de CO2 2019 :  0,38 tonne par habitant (moyenne monde : 5 t/hab). Source : Banque mondiale

Indice de Perception de la Corruption (IPC)

  • 2020 : 25 (score) ; 149ème rang sur 180 pays ; 25ème rang en Afrique (sur 54)
  • 2021 : 27 (score) ; 144ème rang sur 180 pays ;

L’IPC note 180 pays et territoires selon leurs niveaux perçus de corruption dans le secteur public, en s’appuyant sur 13 évaluations d’experts et enquêtes menées auprès de chefs d’entreprises. Cet indice utilise une échelle de zéro (fortement corrompu) à 100 (très peu corrompu). Source : Transparency International

Indice Ibrahim de la gouvernance africaine (IIAG)

  • 2018 : 46,2 (score) ; 36ème place sur 54
  • 2020 : 36,6 (score) : 37ème rang sur 54

Les composantes clés qui constituent les quatre catégories de l’IIAG sont : Sécurité et État de droit, Participation et Droits humains, Développement économique durable et Développement humain. Chacune de ces catégories se décline en sous-catégories sous lesquelles sont regroupés divers indicateurs qui fournissent des mesures quantifiables des dimensions fondamentales de la gouvernance. Source :Fondation Mo Ibrahim

Indice de démocratie

  • 2020 :   (117è rang sur 167 ; 24è rang en Afrique)
  • 2021 :   (122è rang sur 167 ; 26è rang en Afrique)

L’indice de démocratie a été créé en 2006 par le groupe de presse britannique The Economist. Il permet d’évaluer le niveau de démocratie de 167 pays dont 166 sont des États souverains et 165 sont membres de l’Organisation des Nations Unies. Calculé à partir de 60 critères différents, l’indice répartit les pays étudiés en 4 différents types de régime (démocraties : indice entre 8 et 10 ; démocraties imparfaites ; indice entre 6 et 8 ; régimes hybrides : indice entre 4 et 6 ; régimes autoritaires : indice inférieur à 4). Source : Economist Intelligence Unit (EIU)

Indice de Liberté de la presse

  • 2021 : 56,22 (score)  ; 135ème rang sur 180
  • 2022 : 49,10 (score)  ; 118ème rang sur 180

Le classement s’appuie sur un score attribué à chaque territoire, qui peut varier de 0 à 100 : 85-100 points : bonne situation ; 70-85 points : situation plutôt bonne ; 55-70 points : situation problématique ; 40-55 points : situation difficile ; 0-40 points : situation très grave. Le score de chaque pays dépend de cinq indicateurs contextuels, qui permettent de comprendre la liberté de la presse sur un territoire dans sa complexité : contexte politique, cadre légal, contexte économique, contexte socioculturel et sécurité. Source : RSF

Indice de l’émergence en Afrique

  • 2019 : 44,3 (moyenne globale) ; 33ème rang sur 54
  • 2021 : 41,8 (moyenne globale) ; 39ème rang sur 54

Mis au point par le Giersa, l’index de l’émergence couvre, depuis 2019, cinq dimensions thématiques (politique, économique, développement humain, société, capacités institutionnelles) et retient 25 indicateurs qui fournissent un cadre opératoire permettant de saisir les dynamiques éventuelles (ou non) d’émergence. Source : Groupe interuniversitaire d’études et de recherches sur les sociétés africaines (GIERSA)

Indice de cybersécurité (Global Cybersecurity Index)

2020 : 45,63 (score sur 100) ; 93ème rang sur 182 pays ; 13ème rang sur 54 pays d’ Afrique

L’index est établi à partir de plusieurs critères : mesures légales (cadre juridique et légal) ; mesures techniques (existence d’institutions et de cadres techniques traitant de la cybersécurité) ; mesures organisationnelles (existence d’institutions, de politiques et de stratégies de coordination pour le développement de la cybersécurité au niveau national) ; mesures de renforcement des capacités (existence de programmes de recherche et développement, d’éducation et de formation, de professionnels certifiés et d’organismes du secteur public favorisant le renforcement des capacités) ; Mesures coopératives (existence de partenariats, de cadres de coopération et de réseaux de partage d’informations. Source : Union internationale des Télécommunications (UIT)

Puissance militaire Classement Global Fire Power (GFP) 

2022 : 2.5771 (score) ; 105ème rang mondial (sur 142) ; 20ème rang en Afrique (sur 36)

Depuis 2006, Global Firepower (GFP) fournit des données concernant 142 puissances militaires modernes. Le classement GFP est basé sur la capacité potentielle de chaque nation à faire la guerre sur terre, sur mer et dans les airs par des moyens conventionnels. Les résultats intègrent des valeurs liées à la main-d’œuvre, à l’équipement, aux ressources naturelles, aux finances et à la géographie. Le GFP se base sur cinquante critères, dont le nombre de militaires actifs, la force navale, la disponibilité du carburant pour les opérations militaires, le nombre d’avions de chasse, le budget consacré à la défense, la flexibilité logistique, etc. Un score parfait (jamais atteint) est égal à 0,000. Source : Global Fire Power

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